Perspectives féministes pour la justice environnementale

Dans le cadre de la Journée internationale des droits des femmes ayant lieu le 8 mars de chaque année, la Fondation David Suzuki, accompagnée d’Amnistie internationale Canada francophone, du Conseil des Montréalaises et de Mères au front, vous proposent un panel mêlant justice environnementale et féminisme qui aura lieu le mardi 28 mars 2023 en soirée à la Maison du développement durable à Tiohtiá:ke / Mooniyang / Montréal.

Lors de ce panel, vous aurez l’occasion notamment d’en apprendre davantage sur les impacts différenciés des changements climatiques et d’aborder des pistes d’action pour atteindre une plus grande justice environnementale*.

Nos invitées sont :

• Karine Péloffy de Mères au front - Montréal
• Amélie Boudot du Conseil des Montréalaises
• Colette Lelièvre d’Amnistie internationale Canada francophone

Le panel sera animé par Cyrielle Maison de la Fondation David Suzuki.

Les places sont limitées, l’inscription via Eventbrite est obligatoire pour y participer.

Accessibilité

L'événement est universellement accessible. Si vous avez besoin d'une interprétation en langue des signes québécoise (LSQ), veuillez nous écrire à l’adresse fondation@davidsuzuki.org avant le mardi 14 mars 2023.

NB : Par la même occasion, nous profitons de cet événement pour mettre de l’avant l’alliance Transition en commun qui vise à favoriser la transition socio-écologique à Montréal dont font partie la Fondation David Suzuki et le Conseil des Montréalaises.

* À l’échelle internationale, selon l’ONU Femmes, « comme les changements climatiques alimentent les conflits dans le monde entier, les femmes et les filles sont plus vulnérables à toutes les formes de violences basées sur le genre, y compris les violences sexuelles liées aux conflits, la traite des êtres humains, le mariage des enfants et d’autres formes de violence ». (Source : https://www.unwomen.org/fr/nouvelles/article-explicatif/2022/03/inegalites-entre-les-sexes-et-changements-climatiques-des-enjeux-etroitement-lies)

À l’échelle plus locale, le Baromètre de l’action climatique montre que les femmes vivent davantage d’émotions négatives à l’égard des changements climatiques (notamment de l’écoanxiété) que les hommes et perçoivent les changements climatiques comme une menace élevée ou très élevée dans une plus grande proportion (50%) que les hommes (35%). (Source : https://unpointcinq.ca/wp-content/uploads/2022/12/Barometre2022_WEB.pdf)